Une approche plus artisanale, traditionnelle, plus réelle est celle où 1000 aspects sont pris en compte dans une seule action ou un seul produit ;
Le contraire, une approche artificielle, virtuelle, est celle lorsqu’un seul aspect mène à 1000 actions
C’est dans ce changement d’approche que les efficacités des artisans d’autrefois sont plutôt devenues leurs propres handicaps.
A l’inverse, pour nous, se sont reconstruits en quarante ans, dans un monde plutôt rural les efficacités suivantes :
a) Lorsque nous tournons à la main nous créons de la diversité nécessaire pour mieux vendre dans une commercialisation directe et plus locale. Si nous n’avions que des moules ou des machines ou si nous avions spécialisé, le marché local se serait bien vite saturé et nous serions obligé de vendre à l’extérieur se coupant de beaucoup des liens sociaux, avec leur retours techniques et économiques.
b) Parce qu’un très grand nombre de choses sont tenus en compte, nous ne sommes pas copiable et retrouvons la pleine originalité naturelle.
c) Les anciens artisans sont aussi appréciés pour l’esthétique de leur produit: celle-ci ne vient pas d’une grande idée artistique que l’on applique, il n’y avait pas nécessairement d’école d’art;
Cela se construit : -comme des petits rapports harmonieux entre nous et chacun de nos voisins , – la grand mère dans son jeune temps , -tout apprenti au fur et à mesure de sa pratique va se voir réaliser un nombre de petites harmonies qui va progresser; et lorsque ce nombre d’harmonies devient important, l’objet devient meilleur, plus beau etc…
Nous n’avons pas besoin d’avoir recours à une idée artistique ou économique, ou tout autre idée, les moyens de ces dernières se font par l’ouverture qui rend notre approche plus absorbante et sans distinction. Une fleur finalise des milliers d’informations dans une couleur, une odeur,etc… c’est la seule , la meilleure possible compte tenu du reste, nous sommes dans le réel, le traditionnel, la vied dont le miracle est le tout qui se finalise dans un. Le choix se fait moins direct: Le fait de tenir en compte de plus en plus d’éléments rend le choix plus efficace et moins direct (ayant tenus compte de milliers de choses on ne peut plus vraiment parler de choix) le choix est en moins direct et de plus en plus efficace tous aspects confondus.
Cet efficacité n’est plus vérifié dans le système actuel ( bulle virtuelle depuis ce qu’on appelle le début de » l’humanité »;la charrue avant ou après les boeufs)
Si l’on donne 1 euros à 1000 personne on risque de passer inaperçu ; dans ce système virtue; il faudra donner 1000 euros à une seule personne pour retrouver une reconnaissance , et comme dans un monde virtuel on a des problèmes d’ existence le choix nous est préformaté bien sûr. Une approche trop artistique par exemple mènerai à faire moins de cuissons, une par mois plutôt qu’une par jour, cela nous nous placerions tel un apprenti cuisinier qui ne cuisinerai qu’une fois par mois, ses moyens artistiques ne se développeront pas assez et de ce fait son idée artistique augmentera encore davantage (telle l’idée de soif lorsque nous n’avons pas trouvé assez d’eau).
Nous sommes quotidiennement confrontés aux deux types d’approche dont les efficacités sont totalement opposées :
Lorsqu’ on devient parent, pour le bien de l’existence de l’humanité nous sommes par défaut dans le 1000 qui se finalise en 1 , le réel , le plutôt traditionnel .
Donc, à la maternité nous n’avons pas besoin de choisir pour qu’ils deviennent les meilleurs au monde ,
Nous ne pouvons pas spécialiser , tous les aspects sont importants , un seul mal géré va mettre à mal tous les autres: donc pas de spécialisation qui afait le fort de notre bulle virtuelle depuis le début de » l’homme » .( l’,industrialisation, économie de marché, banque, création de l’argent etc… ne représente qu’un seuil exponentiel, ils ne sont que des symptômes ).
En tant que parents nous n’avons pas besoin d’être doués , pas de compétition : si les parents avaient eu besoin d’être doués trop peu s’en serait « sortis » et je ne serais peut pas là pour embêter le monde à vouloir l’expliquer , ni pour vous d’essayer de comprendre ces propos .
L’idée a un rôle d’outil à double tranchant elle doit provoquer l’ouverture donc le retour à l’approche « absorbant » dans laquelle nous recommençons à tenir en compte éventuellement ce que l’on a oublié , des nouveaux éléments à considérer, les choses se réglant mieux , les idées ( signaux, avertissements) peuvent diminuer pour disparaitre .
Si l’idée ne provoque pas cette ouverture elle va détruire ,donc illuminer le problème ( nous en l’occurrence)
L’humanité existe encore grâce à cette approche traditionnelle « absorbante »
Aussi comme les parents avec les enfants , l’artisan ne peut qu’être dans une approche d’ouverture résultant au progrès universel, celui qui a l’approbation du reste. L’artisan fonctionne comme des parents dans le professionnel .
Ce qui constitue la plupart des efficacités actuelles ne le serait plus, si nous serions dans un monde plus réel, existant, traditionnel ; à l’inverse tous nos handicaps redeviendraient des avantages.
La spécialisation le fait d’être doué n’est seulement possible que dans un monde de type virtuel.
Donc nos efficacités se révèlent dans un monde traditionnel, existant.
Si l’on donne 1 euros à 1000 personnes on risque de passer inaperçu ; dans ce système virtuel il faudra donner 1000 euros à une seule personne pour retrouver une reconnaissance , et comme dans un monde virtuel on a des problèmes d’ existence le choix nous est préformaté bien sûr.
Il n’y a pas de problème de transmission dans un monde traditionnel elle est là par défaut :
Le grand père tient compte de tout ce qu’il y a autour de lui pour finaliser des milliers d’informations dans une seule action, un produit et comme une fleur finalisera, dans son odeur, sa couleur, tout son environnement , elle n aura pas le choix (cela ne lui préoccupera pas car c’est la seule chose possible compte tenu de tout le reste ) L’arrière petit fils va avec les presque mêmes ingrédients va finaliser plutôt la même soupe. Et si les objets se ressemblent, ce n est pas parce qu’on a su transmettre, mais c est parce que ce sont les seuls choses possibles compte tenus de tout le reste. (Comme une molécule résultera de l’approbation des atomes qui la constituent)
L’idée soutenue par le leur de la spécialisation est devenue de plus en plus directrice de nos action ce qui a permis notre bulle virtuelle d’exister avec des efficacités contraires .Il faut donc reconstruire ce système traditionnel, existant, (car il n’est quasiment plus là) avant de pouvoir bénéficier de ces efficacités.
Un scénario possible de l’évolution de » l’homo-sapiens » serait celui-ci: nous avons cesser de satisfaire un tout petit aspect anodin ( ce qui est en somme normal), mais pour ne pas avoir rééquilibrer et comme de même un menteur qui ne rééquilibre pas sa situation qui va être amené à faire un deuxième, troisième mensonge nous avons cesser de satisfaire un deuxième,troisième petit aspect anodin et de fil en aiguille, un plus grand nombre de choses n’est plus tenu en compte ; de 1000 (ou 1 million ….) qui se finalisent en 1, nous passons par 997 qui se finalise en 1 , puis 100, 10,1 finalise en 1, et ensuite on rentre dans le virtuel 1 seul aspect dirige 10 actions puis 1 aspect dirige 100 puis 1000 actions etc..(dogme, machine, méthode etc…).
C’est au moment de ce virement dans le virtuel que l’idée va changer de fonction :
Au lieu que l’idée provoquant l’ouverture, nous rétablissant dans le mode absorbant et sans distinction elle devient directive de nos actions.
L’idée soutenue par le leur de la spécialisation est devenu de plus en plus directrice de nos actions ce qui a permis notre bulle virtuelle d’exister avec des efficacités contraires .
L’idée a un rôle d’outil à double tranchant elle doit provoquer l’ouverture donc le retour au mode « absorbant » dans laquelle nous recommençons à tenir en compte éventuellement ce que l’on a oublié , des nouveaux éléments à considérer, les choses se réglant mieux , les idées ( signaux, avertissements) peuvent diminuer pour disparaitre .
Si l’idée ne provoque pas cette ouverture elle va détruire (telle l’idée de peur qui devenant trop directrice détruirait plutôt que de sauver la vie) , donc va illuminer le problème ( nous en l’occurrence)
L’humanité existe encore un petit peu grâce à cette approche traditionnelle « absorbante et sans distinction».
Le coté optimiste restant que du fait du nombre croissant de problèmes et du nombre d’idées conséquentes , nous allons malgré nous tenir en compte de 1000 ennuis donc de 1000 éléments dans une seule action ce qui devrait nous placer de retour au mode réel ; ceci considérant que nous réagissons à ce nombre d’ennuis croissant. C’est cyclique .
La difficulté est de repasser du mode virtuel (1 qui fait 1000) au monde réel (1000qui fait 1)
Une fleur finalise des milliers d’informations dans une couleur , une odeur etc… elle n’a peut être pas le choix mais c’est parce qu’elle c’est la meilleure possible lorsqu’on a tenu compte de tout le reste.
Ce passage ne peut pas ce faire avec l’idée directrice donc désolé pour toutes les consciences qui étaient importantes et essentielles pour l’éveil donc l’avènement d’une idée.
Mais elles resteront à leur stade virtuelle d’idée car les vrais moyens viendront que de l’attitude réellement absorbante , là où l’idée ne peut plus rien :
L’idée d’avoir soif (restant essentielle) ne peut créer une molécule d’eau et pour le peu que vous voulez l’eau bonne sous tous ces aspects le mode absorbant s’imposera pour recréer tout cela .
Dés que l’idée fait son travail de provoquer l’ouverture , donc à nouveau le mode absorbant, elle n’a plus de raison d’exister et c’est dans ce mode absorbant que le travail ce fera malgré nous et ce sera tout le reste « à part cette idée qui sera nécessairement tenu en compte .
Donc nous sommes sur le chemin de la non- existence qui s’accélère bien sûr grâce à nos idées , nos peurs , nos besoins d’existant qui sont de plus en plus importants ; ( besoin de choisir , de reconnaissant ,de découvrir , etc…), l’essentiel des besoins mentaux notre quotidien dans ce monde virtuel est défini par ce manque d’existant.
Dans le traditionnel on ne traite pas un type d’aspect mais un nombre d’aspect.
Si ce que l’ on fait répond de mille harmonies plutôt que de cent , de dix seulement il s’en trouve bien sûr plus beau et pas seulement dans un seul aspect mais dans tous les aspects
Pour y accéder, l’idée ne peut plus être directive, elle n est qu’un avertissement, un signal.
On ne peut pas appliquer une idée, une équation, on peut juste vérifier une équation.
En ouverture nous fonctionnions dans un mode absorbant.
Bien que conscient de la nocivité des éléments d’un monde virtuel, nous n’ avons pas à avoir d’apriori :(à l’image du choix des parents entre le petit frère et la grande sœur) lorsqu’il s’agit d’un élément issu du monde virtuel comme une technologie moderne , ce sera dans une approche absorbante , les éléments qui nous constituent qui avec nous vont définir à quelle niveau cette technologie va s’intégrer .
Si nous avions fait le choix du côté plus ou moins noble d’un élément il serait devenu directeur de nos actions , nous aurions été amené tout droit vers la non- existence . Ce qui explique la nécessité de tolérance bien souvent décrite . Mais ce ne sera en aucun cas l’idée directrice de tolérance qui pourrait l’obtenir, ce ne sera que notre capacité de fonctionner en mode absorbant .
Il faut se replacer dans cette approche où puisque des atomes ont trouvé « leur compte » une molécule va être permise d’exister .
La difficulté de reconstruction n’est qu’au changement de direction du virtuel (1 qui fait 1000) au réel 1000 qui 1) : la difficulté s’attenuera lorsque par exemple on aura satisfait un 5eme aspect, un 6eme copain , 10, 100 personnes dans le village nous aura à notre actif déjà une centaine d’alliés , d’harmonies qui rendront notre choix beaucoup plus juste et facile et de cefait le mode réel redeviendra de plus en plus facile .
Mes termes volontairement ne parlent pas d’amour et autres termes dont la nécessité est de plus en plus évidente car je pense qu’il est grand temps de porter notre attention sur les moyens et non les idées , ces dernières bien que éssentielles comme avertissements, ne créeront jamais aucun moyen dans le monde réel. (l’idée d’avoir soif ne crée pas une molécule d’eau l’eau).
Il n’y pas de besoin, heureusement, que les hommes ont de bonnes idées,plus du courage pour accéder aux moyens de l’éternel, c est à dire de l’existant , le retour à une approche simplement absorbante va faire le travail .
Pour l’instant ce sont encore les efficacités du mode virtuel qui priment qui sont révélées et de ce fait c’est effectivement difficile.
Ce ne seront pas d’autres idées politiques, religieuses, économiques,philosophiques ou autres qui pourront faire l’affaire ni non plus l’idée ce que j’essaie de partager .
Il faut se mettre dans une approche où nous pouvons vérifier l’équation et non de l’appliquer !.
Telle l’idée de démocratie : nous ne pouvons pas choisir avec qui l’on va être démocrate et qui nous n’ allons pas l’être ; nous ne pouvons pas utiliser une méthode pour aller plus vite même si il y a urgence .
Il faut arrêter nos peurs , nos envies avant qu’elles deviennent directrices de nos actions .
Le coté optimiste restant que du fait du nombre croissant de problèmes et du nombre d’idées conséquentes , nous allons malgré nous tenir en compte de 1000 ennuis donc de 1000 éléments dans une seule action ce qui devrait nous placer de retour au mode réel ; ceci considérant que nous réagissons à ce nombre d’ennuis croissant. C’est cyclique .
Un autre exemple pour le côté optimiste c’est que d’une adolescence ingrate et directrice nous sommes encore capable de passer au mode absorbant , c’est à dire le rôle parental .